Le Ballet de Lorraine

Distribution

Directeur Général : Didier Deschamps

La Divine Comédie
Chorégraphie : Joëlle Bouvier
Scénographie : Claire Sternberg

White
Chorégraphie : Paulo Ribeiro

One Part Two
Chorégraphie : Russell Maliphant
Lumière : Michael Hulls
Musique : Jean-Sébastien Bach, arrangée par Russell Maliphant

Résumé

Formation néoclassique très riche et très variée, Le Ballet de Lorraine, sous la direction de Didier Deschamps, pense que dans le domaine des arts du spectacle vivant, et en particulier de la danse, aucune compagnie ne peut se cantonner au répertoire du passé. C’est pourquoi le Centre chorégraphique national – Ballet de Lorraine se veut très engagé dans le champ de la création en accueillant de nombreux chorégraphes, parmi les plus grands de la période, mais aussi, en accompagnant les tout jeunes et en suscitant des rencontres d’artistes issus de champs et d’esthétiques très divers. Il s’agit ainsi pour lui de favoriser l’évolution, le renouvellement des formes classiques, et aussi de s’inscrire dans un spectre le plus ouvert possible, au cœur des démarches actuelles.

Deux créations au programme. La première, Divine Comédie de Joëlle Bouvier, après Jeanne d’Arc présentée à la Maison des Arts en 2005. L’idée de départ de s’inspirer de la Divine Comédie de Dante et de l’enfer en particulier a été suggérée à la chorégraphe par l’auteur et metteur en scène Joël Jouanneau. Avec la complicité d’une vingtaine de danseurs, Joëlle Bouvier travaille sur la foule pour mettre en évidence, plus à nu encore l’individu, sa particularité, sa solitude et sa beauté : trouver fa faille, L’instant de la chute, celle qui bouleverse, nous rend fragile et humain : l’homme connaît la faute, il choisit de Lutter ou de s’y abandonner jusqu’au vertige. J’aime le mouvement, son abstraction, Ja poésie.

La seconde création, White du Portugais Paulo Ribeiro s’appuie sur une phrase de Voltaire qui dit que l’optimisme, c’est la rage de soutenir que tout est bien quand on est mal. C’est cette réalité, explique le chorégraphe, que je souhaite explorer, faite de plaisir et de douleur de la chair, d’élévation et d’humour ; d’ironie et de banalité. Nous prendrons une idée éculée, ignorée et jetée sur le côté pour lui donner substance, corps.

La troisième chorégraphie, One Part Two, est un solo de Russell Maliphant, dont nous accueillerons la compagnie en mars prochain. Renommé pour son style fluide et énergique, sa brillante utilisation des éclairages et de la musique, ce chorégraphe développe un langage élégant, structuré et inspiré. Au fil du solo One Part Two, il sculpte les mouver:qents du corps en une fascinante combinaison gestuelle, toujours à la recherche d’un équilibre entre dynamique et gravité, fluidité et tension des corps.

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Directeur Général : Didier Deschamps <br><br> <i>La Divine Comédie </i><br> Chorégraphie : Joëlle Bouvier <br> Scénographie : Claire Sternberg <br><br> <i>White </i><br> Chorégraphie : Paulo Ribeiro <br><br> <i>One Part Two </i><br> Chorégraphie : Russell Maliphant <br> Lumière : Michael Hulls <br> Musique : Jean-Sébastien Bach, arrangée par Russell Maliphant Le Ballet de Lorraine