Trois acteurs-manipulateurs, une quarantaine de marionnettes, un décor conçu comme une machine à jouer, un castelet de rêve, un labyrinthe, des images vidéos, deux musiciens, quelques chansons, un peu de magie… Et, dans la pure tradition du conte pour enfants, une histoire de sorcières faite pour rire et avoir peur… Un monde magique où les enfants sont toujours sauvés grâce à leur fantaisie et leur générosité.
C’est l’histoire merveilleuse, drôle et cruelle d’un jeune garçon qui déjoue, avec la complicité de sa vénérable grand-mère norvégienne, un complot mondial d’horribles sorcières.
Les méchantes seront anéanties dans une scène de banquet mémorable tandis que le petit garçon finira transformé en souris … et n’en sera pas désarmé pour autant.
Pour les enfants, la frontière entre la réalité et l’imaginaire est perméable, la croyance qu’il existe d’autres mondes demeure vivace. C’est un moteur puissant pour inventer et jouer, avoir peur et rire. C’est aussi une des raisons essentiel/es pour lesquelles je fais du théâtre et essaye à chaque fois de retrouver l’enfance de l’art.
