Les univers d’OLIVIA RUIZ tourbillonnent dans nos têtes depuis plus d’une décennie. Chansons mutines, câlines, flirtant tango sensuel ou rock alternatif et yéyé, jonglant dans une langue d’aujourd’hui bien dans son jean : ça résonne français, anglais, espagnol, demain italien, allemand, chinois pourquoi pas… Le monde tel qu’il est, doit être. Elle est comme ça l’Olivia. Qu’elle n’Aime pas l’amour (on ne la croit pas), qu’elle soit Femme Chocolat (ça oui), Miss Météores (l’engin céleste qui traverse l’atmosphère en produisant un phénomène lumineux, ben tiens…), ou maniant le Calme et la Tempête (étincelles !), Olivia Ruiz a du coffre. Et ça, c’est plutôt bien. 4 albums, 5 Victoires viennent donc estampiller la chose. Au delà des impressionnants relevés de compteur (à quoi bon finalement), arrêtons-nous plutôt sur ce que la dame a apporté depuis à cette bonne vieille chanson de par chez nous. Une fraîcheur, une joie de vie et d’être. Et de renaître, même. Suffit de se glisser au milieu de n’importe lequel de ses concerts. Il y a de l’âme, de la trempe, du bel orgueil, de l’intelligence, de l’incandescence. Le nouvel album annoncé à l’automne 2016 devrait relancer les festivités. La suite, on la devine déjà…