Randy WESTON a redécouvert en Afrique (dont il a visité une dizaine de pays) « les rythmes de ses ancêtres que le jazz a recréés à travers son histoire américaine, les harmonies simples des origines, et, au delà, son identité culturelle, le mythe de l’Afrique qui a tant de force au sein de l’ethnie noire américaine a une raison d’être dont nous avons du mal à saisir l’étendue : il est, comme la musique du pianiste, fondamental. »
D. BAILLON – D.N.A. Janvier 1978
Outre les rythmes et sonorités africaines, on retrouve dans la musique de l’un des plus grands pianistes contemporains, la musique afro-cubaine, l’église noire aux U.S.A. et surtout le BLUES, complainte des premiers esclaves. Profondément marqué par les jeux de Duke ELLINGTON, Earl HINES et Thelonious MONK, le grand prêtre du Be-Bop des années 50, Randy WESTON donne à la musique la couleur de ses états d’âme : « MA MUSIQUE EST COMME LA VIE » Randy WESTON