Avec ce nouveau triptyque dansé, Daniel Larrieu signe un passionnant cheminement à l’écoute de notre planète et de ses urgences, sur les rythmes de l’électro-pop spatiale de Rubin Steiner.
Chorégraphe, danseur, chanteur, horticulteur…, et pionnier de la Nouvelle danse française avec plus de cinquante pièces à son répertoire, Daniel Larrieu a exploré en profondeur les notions de mouvement, d’espace et d’expériences associées à la danse contemporaine. Le thème de l’environnement est au centre de ce nouveau projet, avec ses trois séquences dansées qui se déploient autour de l’intime et du collectif. Ombres et lumières, le plateau se fait mat, nocturne, révèle les invisibles.
PAN. Solo inspiré par les figures pastorales dans les récits de Giono, le gardien des animaux opère un lien entre le monde animal et l’humain.
PLIS. Trois femmes, trois robes de coton, la spirale de Fibonacci en mémoire. Un rituel.
PEAU. Les cinq interprètes réunis, liés, main dans la main, accomplissent des figures rituelles : cristaux, passes, rondes minérales.
PRESSE
Daniel Larrieu a toujours ce désir de poser sur le plateau un geste poétique et spirituel, cette foi en la danse et sa capacité infinie à sublimer la vie. Rosita Boisseau, Le Monde