Ode à la joie de vivre, ce récit d’une belle amitié entre deux enfants que tout oppose, aborde avec délicatesse le thème de la filiation et des secrets de famille. Couronné par le Molière du théâtre jeune public en 2005, il n’a cessé, depuis lors, d’enthousiasmer les publics. Une histoire contemporaine aux allures de conte qui se déroule comme un film, sous un jeu de lumières servant de décor, et au rythme d’une musique entrainante.
Ernest a dix ans et est orphelin. Sa vie avec sa grand-mère, Précieuse, n’a rien de très exaltant : école, goûter, devoirs, soupe. Pas de téléphone, pas de télévision. Solitaire et taciturne, Ernest se révèle lorsqu’il rencontre Victoire, une jeune fille pleine de joie et de gaieté, seule fille d’une famille de treize garçons. Elle va le bousculer et lui faire découvrir la vie, les sucreries, le cinéma, les supermarchés… Elle va aussi le pousser à se questionner sur sa vie et résoudre l’énigme de son passé.
