Du haut de son mètre 90, Mikaouël s’accompagne avec la plus petite des guitares, le ukulélé. Ensemble, ils tricotent des p’tites chansons sur la vie de tous les jours. Si le verbe est souvent naif, le regard est coquin, voire taquin. Et fait mouche. Comme sur son impayable et (auto ?) biographique chanson Mon zob. Mikaouël profite des Courants d’Airs pour lancer son album 12 titres. Concert-vernissage.