Ses chansons à succès Né quelque part, San Francisco, Ambalaba, une grande envie de combler le fossé entre les générations, une simplicité chaleureuse … les retrouvailles de Maxime LE FORESTIER avec le public sont réussies.
Guitare en bandoulière, entouré par quatre musiciens et sa choriste sud-africaine Aura, Maxime le troubadour conserve toujours ce style sobre qui fait la part belle aux textes et aux mélodies; le tout servi par un phrasé clair, une voix aux souples modulations. Disciple de Brassens (La Visite), de Brel – dont il reprend Les Amants – , de Bob Dylan et de Gat Stevens, Maxime LE FORESTIER est resté fidèle à soi-même, puisant son inspiration dans l’air du temps.
Serein et pas du tout désabusé, LE FORESTIER a troqué ses illusions d’hier contre une sorte de bonheur intérieur, de philosophie épicurienne, de sensualité musicale ouverte aux influences exotiques, créoles et sud-africaines.
Le Figaro