« Electriques, Les Petits Lapins le sont. Acoustiques, ça leur arrive aussi quand leur côté champêtre prend le dessus. Ils chantent en anglais de curieuses histoires dont les titres pourraient bien être inspirés de poèmes de Dylan Thomas, ils taquinent aussi le français sur des comptines faussement naïves qui évoquent Charles Trenet.«
René Guyomarc’h
» Tout le disque virevolte entre une mélancolie chère à la pop, et l’ironie espiègle de ritournelles sèchement traitées par la production judicieuse de Paco Rodriguez (l’ex-Gamine). Justement vantées, leurs performances scéniques garantissent une cohérence qui manque parfois à leurs camarades de promo « .
Stéphane Davet – Les lnrockuptibles