Être ou ne pas être ? Rêver ou ne pas rêver ? Se tirer une balle dans la tête ou lion ?… Le rêve d’un homme ridicule est un conte, une histoire. Une histoire de fou, de rêve. Dostoïevski embarqué son monde pour un voyage sans temps et sans espace. L’émotion est recherchée, l’émotion est trouvée. Sur scène, Paul Predki est seul. Il monologue,.raconte, se raconte, entraîne… Et puis arrivent les musiciens. Clarinette, violon, accordéon. Eux également, cherchent l’émotion et la trouvent.
« Françoise Maimone, appuyée sur une nouvelle traduction d’André Markowicz qüi dépoussière notre connaissance de Dostoïevski, relève le défi… Le rêve d’un homme ridicule a pour décor un paysage onirique, où le tronc d’un arbre renversé (superbe) symbolise toute l’aventure du texte rêve d’un paradis perdu où la pureté et le bonheur originels ont été corrompus paf’ le mensonge ou, très bibliquement, par le désir de la connaissance« .
Le Progrès – Layon.
Le Rêve d’un Homme ridicule
Distribution
Compagnie Françoise Maimone De : Fedor Dostoïevski Traduction : André Markowicz Mise en scène : Françoise Maimone Avec : Paul Predki, Thierry Bouchet, accordéon, Nadia Kuentz, violon,Pascal Pariaud, clarinette Musique : Gérard Maimone |