Les Fables à la Fontaine

Annie Sellem, conceptrice du projet est partie de l’idée que la création, c’est le jeu. Elle a alors proposé à des chorégraphes très dif­férents de nous raconter de petites et grandes histoires tirées des fables de notre enfance ; des histoires qui rassemblent, qui font sens et sont souvent répara­trices.

Le chêne et le roseau, choré­graphié par Kafig, une des compagnies phare de la danse hip-hop, met en lumière la confrontation entre deux conceptions distinctes mais liées de la danse.

Le lion et le rat, imaginé par Dominique Boivin, choré­graphe de la Compagnie Beau Geste, brillant élève d’Alwin Nikolaïs et maître d’un univers riche de poésie, d’humour décalé et de fan­taisie sans limite, réunit une danseuse et un chanteur pour porter sur scène le fameux adage on a toujours besoin d’un plus petit que soi.

Le corbeau et le renard, seule fable que Dominique Hervieu, compagne à la scène de José Montalvo, puisse encore réci­ter par cœur, rendra hommage au souvenir d’enfance.