Oui, il est toujours là. En costume noir, inquiet, grinçant et comme d’habitude.
Pointes, piques et répliques, Guy Bedos débarque, seul en scène, avec une quinzaine de séquences nouvelles dont quatre crayonnées par Pierre Palmade, et une de Jean-Loup Dabadie, son jumeau de toujours. En reprise quelques classiques, et bien sûr des improvisations qui se glisseront en guirlande, entre rire et larmes, colère et chagrin.