François Silvant : C’EST UNE GALERIE DE PORTRAITS QUE LUI AUSSI BROSSE SUR SCÈNE, SANS AUTRES ACCESSOIRES QUE DEUX BALLES DE PING-PONG, UNE PAIRE DE LUNETTES ET UN BALAI, MAIS SON VIEUX FIGURANT DANS UN THÉÂTRE ABANDONNÉ, SON DANSEUR RATÉ JETANT DU PAIN AUX CYGNES DU LAC… SONT UNE SUITE D’ATTITUDES, D’EXPRESSIONS. TEXTES MODELÉS PAR UN HUMOUR IMPITOYABLE.