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Les Tapas

Forains d’un nouveau genre, Les Tapas perpétuent, le coeur battant, la tradition du burlesque muet. Humour absurde et art de la foirade à répétition sabotent le moindre numéro de magie. Mais nos deux amuse-gueules ne manquent pas d’humeur et de débrouilles… 

Il a un poil dans la main, elle a deux mains gauches. Malgré les recommandations de leurs proches, Les Tapas ont tout quitté pour se lancer dans le spectacle vivant, et pire encore, dans le Théâtre de Rue. Au programme : grande illusion avec petits riens, lancer de tournevis sur cible vivante, bricolage musical en direct, boule à facette humaine, air comprimé et bouffée d’oxygène. Les Tapas revendiquent leur lenteur d’imbéciles heureux éperdument naïfs. Si la scène est leur château en Espagne, d’espagnol ils n’ont que le pseudonyme, souvenir de leur pot de départ. Avec Stéphane Filloque à la mise en scène (Ma vie de grenier, Zataiev) et avec les conseils de Martin Petitguyot (La Jurassienne de Réparation, La Vieille qui lançait des couteaux), on ne peut que s’attendre au pire… pour le meilleur ! 

Bérengère Déméautis et Jérôme Jolicart incarnent cet esprit cher à Carnage dans ce numéro décapant, savoureux et croustillant, entre spectacle de rue et bouffonnerie habile. – La Dépêche

Les Tapas – ANNULÉ

Forains d’un nouveau genre, Les Tapas perpétuent, le coeur battant, la tradition du burlesque muet. Humour absurde et art de la foirade à répétition sabotent le moindre numéro de magie. Mais nos deux amuse-gueules ne manquent pas d’humeur et de débrouilles… 

Il a un poil dans la main, elle a deux mains gauches. Malgré les recommandations de leurs proches, Les Tapas ont tout quitté pour se lancer dans le spectacle vivant, et pire encore, dans le Théâtre de Rue. Au programme : grande illusion avec petits riens, lancer de tournevis sur cible vivante, bricolage musical en direct, boule à facette humaine, air comprimé et bouffée d’oxygène. Les Tapas revendiquent leur lenteur d’imbéciles heureux éperdument naïfs. Si la scène est leur château en Espagne, d’espagnol ils n’ont que le pseudonyme, souvenir de leur pot de départ. Avec Stéphane Filloque à la mise en scène (Ma vie de grenier, Zataiev) et avec les conseils de Martin Petitguyot (La Jurassienne de Réparation, La Vieille qui lançait des couteaux), on ne peut que s’attendre au pire… pour le meilleur !

Les Tapas – ANNULÉ

Forains d’un nouveau genre, Les Tapas perpétuent, le coeur battant, la tradition du burlesque muet. Humour absurde et art de la foirade à répétition sabotent le moindre numéro de magie. Mais nos deux amuse-gueules ne manquent pas d’humeur et de débrouilles… 

Il a un poil dans la main, elle a deux mains gauches. Malgré les recommandations de leurs proches, Les Tapas ont tout quitté pour se lancer dans le spectacle vivant, et pire encore, dans le Théâtre de Rue. Au programme : grande illusion avec petits riens, lancer de tournevis sur cible vivante, bricolage musical en direct, boule à facette humaine, air comprimé et bouffée d’oxygène. Les Tapas revendiquent leur lenteur d’imbéciles heureux éperdument naïfs. Si la scène est leur château en Espagne, d’espagnol ils n’ont que le pseudonyme, souvenir de leur pot de départ. Avec Stéphane Filloque à la mise en scène (Ma vie de grenier, Zataiev) et avec les conseils de Martin Petitguyot (La Jurassienne de Réparation, La Vieille qui lançait des couteaux), on ne peut que s’attendre au pire… pour le meilleur !

Zataiev

Le déjanté Stéphane Filloque, après Ma vie de grenier, revient sur les Chemins de Traverse, en duo et avec un tout autre personnage, flanqué de son humour et de sa maîtrise des arts forains. Nous rencontrons Tarek et Ludmila Zataiev, deux artistes russes exilés, exubérants, qui n’ont peur de rien. Le spectacle qu’ils nous proposent est l’occasion de se moquer de nos craintes d’occidentaux menacés dans leur confort : peur de ne pas capter de réseau, peur de ne plus avoir de foie gras pour les fêtes, peur de ne pas trouver de place de parking… Il y a six ans, Ludmila est morte pendant leur représentation, Tarek était ivre. Depuis il erre en attendant l’instant où Ludmila reviendra de l’au-delà pour revivre cette représentation et le retrouver. À grands renforts de mentalisme, magie, fouet, scie sauteuse, lancer de couteaux, tir au pistolet, ou encore prises de risque inutiles, le duo de Carnage Productions nous livre un spectacle rude et doux, drôle et risqué, poétique et brutal. Une grande histoire d’amour, ou d’armoire, ou bien les deux…

Ma vie de grenier

Ma vie de grenier : son stand est prêt. Il fignole la mise en valeur de ses objets et attend le badaud à qui il va pouvoir refiler ses bibelots. Gaétan Lecroteux est arrivé en avance pour avoir la meilleure place du vide-grenier. Trop en avance. Il s’est trompé d’une semaine… Qu’importe, puisqu’il est là, et nous devant lui. Il va alors procéder au grand déballage de ses vieilleries et des souvenirs qui vont avec. Toute une collection de Rahan, un aspirateur transformé en lecteur-cd, Boucle d’Or et les trois ours en dizaines d’exemplaires ou encore un vieux synthétiseur. À chaque objet une anecdote aussi croustillante que malheureuse pour le maladroit et malchanceux qu’il est. Les démonstrations de ses babioles dérapent évidemment en cascades domestiques et autres gags. Il est jovial, Gaétan, il a deux mains gauches et la souplesse d’une cave à fuel, mais il est gentil. Trop gentil. Au fil de ses confidences partagées, on comprend, et lui avec nous, qu’il a été trahi, trompé, exploité… L’objectif du jour : se débarrasser de son bazar pour faire table rase du passé. Aussi drôle qu’attachant, ce personnage délirant nous entraîne dans ses folles péripéties. Et si on repart sans rien acheter, on aura au moins gagné un irrésistible moment de rire avec Ma vie de grenier !

Ma vie de grenier

Son stand est prêt. Il fignole la mise en valeur de ses objets et attend le badaud à qui il va pouvoir refiler ses bibelots. Gaétan Lecroteux est arrivé en avance pour avoir la meilleure place du vide-grenier. Trop en avance. Il s’est trompé d’une semaine… Qu’importe, puisqu’il est là, et nous devant lui. Il va alors procéder au grand déballage de ses vieilleries et des souvenirs qui vont avec. Toute une collection de Rahan, un aspirateur transformé en lecteur-cd, Boucle d’Or et les trois ours en dizaines d’exemplaires ou encore un vieux synthétiseur. A chaque objet une anecdote aussi croustillante que malheureuse pour le maladroit et malchanceux qu’il est. Les démonstrations de ses babioles dérapent évidemment en cascades domestiques et autres gags. Il est jovial, Gaétan, il a deux mains gauches et la souplesse d’une cave à fuel, mais il est gentil. Trop gentil. Au fil de ses confidences partagées, on comprend, et lui avec nous, qu’il a été trahi, trompé, exploité… L’objectif du jour : se débarrasser de son bazar pour faire table rase du passé. Aussi drôle qu’attachant, ce personnage délirant nous entraîne dans ses folles péripéties. Et si on repart sans rien acheter, on aura au moins gagné un irrésistible moment de rire !